C’est peut être une manie que ces pélargoniums ont génétiquement gardée de leurs contrées lointaines.
Je crois qu’ils poussent dans des endroits plus ou moins herbeux, alors pour que les abeilles ou autres papillons ne les ratent pas, ils se montrent.
Et ils n’ont sans doute pas assez d’énergie pour dépasser tous ces tas d’herbes, puisqu’ils ont trouvé une astuce. Ce sont eux, les cléistogames du genre.
Alors comme je sens bien que ces pélargoniums font des efforts pour parader, en récompense, je leur donne souvent un peu d’eau du robinet. Et je n’ai pas affaire à des ingrats.