Il y a vingt ans, nous avions quatre rosiers Queen Elisabeth que nous avons dû déplacer lorsque la fille a commencé à marcher car leurs épines étaient au ras de son joli minois.
L'an d'après, un morceau de racine du porte-greffe a donné un rosier que j'ai gardé et mis près du mur de l'abri jardin. La terre est mauvaise, mais amendée par une bonne couche d'humus.
Le petit rosier a grandi et est parti à l'assaut du mur de l'abri jardin.
Il arrive maintenant à la hauteur du toît et mèle ses branches à celles de la Bignone.
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