De façon générale, il y a toujours le choix de la facilité, y compris lorsque c'est délétère. Après les produits pesticides, herbicides, antifongiques etc., la prochaine bombe sera celle des plastiques, qui s'insinuent partout : il n'y a par ex. pas un seul miel qui ne comporte des microplastiques. C'est symbolique par rapport à la marée qui nous inonde, mais n'est-ce pas aberrant tous ces films plastiques étendus pour limiter le désherbage, et qui finiront abandonnés là où ils sont ? Si les "jardiniers" professionnels ne sont pas sensibilisés, qui peut l'être ?