En tout cas, elles sont superbes.
J’ai regardé vite fait les clés de détermination des primevères chinoises et j’ai trouvé que le calice de
P. waltonii possède des rayures farineuses, tandis que celui de
P. secondiflora a également des rayures mais non farineuses. Il y a peut être d’autres critères, mais pas aussi proches.
Et puis,
….. s’il pleut autant qu’ici, les traces farineuses
……
Dans son livre, Jean Lefebvre indique que les fleurs de
P. waltonii sont odorantes.